L’observation du Sabbat dans le Nouveau Testament

Ma quatrième raison pour croire dans la permanence du principe et de la pratique de l’observation du Sabbat, se trouve dans les allusions du Nouveau Testament au fait et à la manière de son observation. Ce chapitre examine brièvement les indications implicites et explicites de la pratique de l’observation du Sabbat au temps du Nouveau Testament. Il sera montré, peut-être à la surprise de certains qui croient autrement, que les croyants du Nouveau Testament observaient le Sabbat, mais avec une nouvelle signification et d’une nouvelle manière.

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1. Le fait de l’observation du Sabbat

Indications implicites.

Le Nouveau Testament fournit des indications implicites et explicites de l’existence de l’observation du Sabbat, dans les communautés Chrétiennes. Implicitement, il est suggéré par l’exceptionnel champ d’application donné par les évangélistes du ministère sabbatique de Jésus.

Il est généralement reconnu aujourd’hui que les Evangiles furent composés, pas comme de simples biographies de la vie u Christ, mais comme des guides théologiques, pour promouvoir la foi Chrétienne. La sélection que les évangélistes choisirent de ce que Jésus dit et fit, était déterminée par les anxiétés prédominantes de leurs temps.

Le fait que les évangélistes ne rapportent pas moins de sept épisodes de guérison, le Sabbat, en plus des controverses subséquentes,  indique la grande importance attachée à l’observation du Sabbat, dans leurs communautés respectives, au temps où ils écrivirent leurs Evangiles. L’exemple, et l’enseignement de Jésus, le Sabbat, reçoivent d’abondants champs d’applications, parce qu’ils fournissent pour ces jeunes communautés chrétiennes la norme pour déterminer la nouvelle signification et manière d’observer le Sabbat.

Indications explicites.

Plusieurs indications explicites de l’observation du Sabbat peuvent être vues dans les Evangiles. Matthieu, par exemple, explique que les « disciples eurent faim » (12:1) le Sabbat, quand ils arrachèrent des épis de blé. Le souci de l’évangéliste d’expliquer que les disciples ne violèrent pas le Sabbat négligemment, suggère, comme Gerhard Barth l’écrit, que « dans la congrégation de Matthieu, le Sabbat était encore observé, mais pas dans le sens stricte du rabbinat.»

L’avertissement du Christ concernant le Sabbat.

Une autre indication de l’observation du Sabbat se trouve dans l’avertissement unique du Christ concernant la destruction de Jérusalem: « Priez pour que votre fuite n’arrive pas en hiver, ni un jour de sabbat » (Mt 24:20). Le fait que le Sabbat soit mentionné ici, pas pour faire la polémique, mais en passant, comme un facteur défavorable pour la fuite des Chrétiens de Jérusalem, implique, d’un coté, que le Christ ne prévoyait pas sa substitution par un autre jour d’adoration, et de l’autre coté, comme le dit A.W. Argyle, « le Sabbat était encore observé par les Chrétiens Juifs quand Matthieu écrivit.»

L’exemple des femmes.

Luc fournit une indication importante de l’observation du Sabbat dans son récit de la Passion. Il décrit comment les femmes suivirent leur Seigneur à la croix, aux risques de leurs vies. Après avoir vu leur Seigneur couché dans la tombe, elles se hâtèrent vers leurs maisons pour préparer « des aromates et des parfums » (Lc 23:56) parce que « le sabbat allait commencer » (v.54).

C’est digne d’attention que, malgré leur dévotion à leur Maître, les femmes avaient conscience qu’elles ne pouvaient pas procéder à embaumer Son corps, parce que ceci aurait signifié la profanation du Sabbat. Ainsi « elles se reposèrent le jour du sabbat, selon la loi » (Lc 23:56) et très tôt, le premier jour de la semaine, elles allèrent au tombeau pour continuer leur travail. Le fait que Luc prend la peine de rapporter que les femmes avaient conscience qu’elles ne pouvaient violer le Sabbat, même pour rendre honneur à leur Maître mort, est indicatif du haut respect dans lequel le Sabbat était tenu au moment de son écrit.

L’exemple de Paul.

Luc, à plusieurs reprises, mentionne la coutume à Paul d’enseigner et d’adorer, dans la synagogue, le Sabbat. Après le martyre d’Étienne, Paul alla à Damas, cherchant les Chrétiens dans les synagogues (Ac 9:2; 22:19), ce qui impliquerait qu’ils fréquentaient encore les services du Sabbat.

Plus tard dans son ministère, Paul « selon sa coutume » (Ac 17:2) se rencontre régulièrement le Sabbat dans les synagogues, ou en plein air, pas seulement avec les Juifs (Ac 13:14; 17:2; 18:4) mais aussi avec les Gentils (Ac 13:44; 16:13; 18:4). Ceci indique qu’aucune séparation radicale chrétienne ne s’était produite jusqu’ici avec le calendrier et le lieu de culte Juif.

En plus des indications implicites suggérées par l’exceptionnel champ d’applications, le Nouveau Testament contient des indications explicites d’actions et de manière d’observer du Sabbat. Que le lecteur se rapporte au chapitre 5 où ces indications sont présentées.

La malédiction des Chrétiens.

Il est impossible de déterminer combien de temps les Chrétiens continuèrent à fréquenter les services du Sabbat dans la synagogue. Nous savons que certains d’eux fréquentaient encore les services à la synagogue vers la fin du premier siècle, parce que à ce moment là, les autorités rabbiniques introduisirent un test pour détecter leur présence dans la synagogue.

Ce test consistait en une malédiction incorporée dans la prière journalière— Shemoneh Esreh— et devait être prononcée contre les Chrétiens, par n’importe quel participant dans le service de la synagogue. Le but de la malédiction était d’interdire la présence des Chrétiens, et/ou leur participation dans les services de la synagogue. L’implication évidente est que certains Chrétiens fréquentaient encore les services du Sabbat à la synagogue.

Les Nazaréens.

Une évidence significative de la pratique de l’observation du Sabbat parmi les Palestiniens-Chrétiens primitifs, est fournie par le témoignage d’Épiphane, Evêque de Salamis (315-403), concernant la secte des Juifs Chrétiens, des Nazaréens. L’évêque, un natif de la Palestine, explique que les Nazaréens furent les descendants directs de la communauté Chrétienne de Jérusalem, lesquels émigrèrent à Pella, avant la destruction de Jérusalem en l’an 70 de notre ère.

Malgré l’effort d’Épiphane de traiter les Nazaréens d’« hérétiques » parce qu’« ils pratiquent les coutumes et les doctrines prescrites par la loi Juive, » rien d’hérétique à leur sujet n’apparaît dans l’exposé assez considérable qu’il donne de leurs croyances. La différence fondamentale entre les Nazaréens et les « vrais Chrétiens » est, selon Épiphane, le fait que les premiers « accomplissent jusqu’à présent, de tels rites Juifs, comme la circoncision et le Sabbat.»  Les dernières pratiques peuvent à peine qualifier les Nazaréens d’« hérétiques » puisqu’ elles étaient observées par l’église primitive de Jérusalem.

Le fait que les Nazaréens, qui représentent les descendants directs de l’Eglise de Jérusalem, maintiennent l’observation du Sabbat, comme une de leurs caractéristiques distinctives, jusqu’au moins le quatrième siècle, montre d’une manière persuasive que l’Eglise de Jérusalem observait le Sabbat durant l’âge apostolique. Ce fait discrédit toute tentative de faire de l’Eglise de Jérusalem le pionnier de l’observation du Dimanche.

Conclusion.

Les indications déjà citées établissent d’une façon abondamment claire que les croyants du Nouveau Testament continuaient la pratique la pratique de l’observation du Sabbat. La nécessité de changer le jour d’adoration du Samedi au Dimanche commença après la fin de l’âge apostolique, dans la première partie du second siècle. Les facteurs politiques, sociaux, païens, et religieux qui ont contribué à ce changement, sont examinés longuement dans mon livre Du Sabbat au Dimanche.

2. La manière d’observer le Sabbat

Nouvelles places d’adoration.

Comment les croyants du Nouveau Testament observaient-ils le Sabbat? Au commencement, la plupart des Chrétiens allaient aux services du Sabbat à la synagogue Juive (Ac 13:14, 43, 44; 17:2; 18:4). Peu à peu, cependant, les Chrétiens établirent leurs propres places d’adoration.

Matthieu suggère que le processus de séparation eût déjà commencé au temps de ses écrits, parce qu’il parle du Christ qui « se rendit dans leur synagogue » (Mt 12:9).  Le pronom « leur » suggère que la communauté de Matthieu dans son ensemble ne participât pas plus aux services du Sabbat à la synagogue Juive, au temps ou fut écrit l’Evangile. Ils avaient vraisemblablement organisé leur propre lieu de réunion d’adoration à ce moment là.

La distinction dans l’observation du Sabbat entre les communautés chrétiennes et Juives, devint bientôt, pas seulement topologique, mais aussi théologique. Les histoires variées, concernant le Sabbat, rapportés dans les Evangiles, reflétaient l’existence d’une controverse en progression entre les assemblées Chrétiennes et les synagogues Juives, qui, dans certains cas, peuvent avoir eu lieu chaque coté de la rue.

La controverse se centrait principalement sur la manière d’observer le Sabbat. Ce jour, devait-il être avant tout observé comme « sacrifice », c’est à dire, comme un accomplissement superficiel de la loi du Sabbat? Ou, ce jour, devait-il être observé comme « miséricorde », c’est à dire, comme une occasion de montrer de la compassion et de faire le bien à ceux dans le besoin? (Mt 12:7)

Un jour pour faire le bien.

Pour défendre la compréhension chrétienne de l’observation du Sabbat, comme un jour pour célébrer la Rédemption messianique en faisant preuve de « miséricorde » et en faisant le « bien » à ceux dans le besoin, les évangélistes font appel à l’exemple et à l’enseignement de Jésus. Par exemple, dans la guérison de la femme paralysée, Luc met en contraste deux concepts différents, d’observation du Sabbat: Celui du Chef de la synagogue contre celui du Christ. Pour le Chef, le Sabbat se compose de règles à obéir, plutôt que d’aimer le peuple (Lc 13:14). Pour le Christ, le Sabbat était un jour pour apporter la libération physique et spirituelle à un peuple nécessiteux (Lc 13:12, 16).

Le Christ remet en question l’idée fausse du Chef, en faisant appel aux coutumes admises d’abreuver les animaux, le Sabbat. Si les besoins journaliers d’animaux pouvaient être satisfaits le Sabbat, bien plus alors, les besoins d’« une fille d’Abraham et que Satan tenait liée depuis dix-huit ans »! Ne fallu pas « la détacher de ce lien le jour du sabbat?» (Lc 13:16)

Un jour pour sauver.

Cette compréhension humanitaire du Sabbat est exprimée aussi dans l’épisode de la guérison de l’homme à la main sèche, rapporté par les trois synoptiques (Mc 3:1-6; Mt 12:9-14; Lc 6:6-11). Dans cette circonstance, Jésus répond à la question posée par une députation de scribes et de Pharisiens, concernant la légitimité de guérir le Sabbat, en posant une question de principe: « Est-il permis, le jour du sabbat, de faire du bien ou de faire du mal, de sauver une personne ou de la tuer?» (Mc 3:4; Lc 6:9)

Il est remarquable que dans les deux, Marc et Luc, le Christ substitue pour le verbe « guérir » (therapeuein), employé dan la question, les verbes « faire du bien » (agathopoiein) et « sauver » (sozein). La raison pour ce changement est le souci du Christ, d’englober, pas une sorte, mais toutes sortes d’activités bienveillantes dans les limites de l’intention de la loi du Sabbat. Une telle interprétation large de la fonction du Sabbat, ne trouve aucun parallèle dans les concessions rabbiniques.

Un jour de service bienveillant.

Selon Matthieu, le Christ expliqua le principe de l’observation du Sabbat comme un temps de service bienveillant, en ajoutant une seconde question contenant un exemple concret: « Lequel d’entre vous, s’il n’a qu’une brebis et qu’elle tombe dans une fosse le jour du sabbat, ne la saisira pour l’en retirer? Combien un homme ne vaut-il pas plus qu’une brebis!»  (Mt 12:11-12) Par les deux, la question de principe et par son illustration, le Christ révèle la valeur primordiale du Sabbat, comme un jour qui fait honneur à Dieu en montrant de l’intérêt et de la compassion pour les autres.

Malheureusement, avec l’accumulation de restrictions (Mc 7:9), l’observation de ce jour fut réduite à une religiosité légaliste, plutôt que l’opportunité d’offrir un service affectueux au Rédempteur-Créateur, en servant ceux qui sont dans le besoin. Le croyant qui éprouve la bénédiction du salut, le Sabbat, automatiquement, sera incité « pour sauver », et pas « pour tuer » les autres.

Les accusateurs du Christ, en ne montrant pas d’intérêt pour le bien-être physique et spirituel des autres, le Sabbat, révélaient leur manque de compréhension et d’expérience du Jour Saint de Dieu. Plutôt que de célébrer la bonté de Dieu, le Sabbat, en s’engageant dans un ministère de délivrance, ils s’engageaient dans des efforts destructeurs, cherchant des défauts et concevant des méthodes pour tuer le Christ (Mc 3:2-6).

Compréhension ou malentendu.

La nouvelle valeur humanitaire que le Christ plaçait sur le Sabbat, est exprimée dans Matthieu, avec une assurance absolue: « Il est donc permis de faire du bien les jours de sabbat » (Mt 12:12). Incapable d’accepter une telle interprétation positive du Sabbat, Willy Rordorf accuse Matthieu de « commencer le malentendu moraliste de l’attitude de Jésus envers le Sabbat.»

Est-il juste pour un érudit moderne d’imputer à un écrivain évangéliste, de malentendu concernant l’enseignement de Jésus envers le Sabbat? Même si l’exactitude du rapport de Matthieu, aurrait pu être discréditée, son interprétation ne représente-t-elle pas encore la vue d’un apôtre et de sa communauté?

La compréhension de Matthieu du Sabbat comme un jour pour « faire le bien » (Mt 12:12) et pour témoigner la « miséricorde » plutôt que de la religiosité (Mt 12:7), n’est-elle pas pleinement partagée par les trois autres évangélistes? Dans Marc et Luc, le Christ est cité, disant la même chose par le moyen de question rhétorique; précisément que durant le Sabbat il est permis « de faire le bien » et « de sauver » (Mc 3:4; Lc 6:9).

Dans Luc, on rapporte que le Christ dit que le Sabbat est le jour pour libérer le genre humain des liens physiques et spirituels (Lc 13:12,16). Dans Jean, le Christ invite Ses disciples à participer à l’activité divine rédemptrice du Sabbat (Jn 9:4; 5:17; 7:22-23). Donc, la vue unanime des Evangiles est que le Christ présente le Sabbat en tant que temps pour servir Dieu, surtout en rendant des services qui démontrent de l’affection envers l’être humain dans le besoin.

Une nouvelle compréhension chrétienne.

La nouvelle compréhension du Sabbat, comme un temps, pas de désoeuvrement passif, mais de service affectueux et actif, pour les âmes nécessiteuses, représente une déviation radicale de l’observation contemporaine Juive du Sabbat. Ceci est aussi attesté dan un document primitif connu comme l’Epître à Diognète (entre 130-200 de notre ère) où les Juifs sont accusés d’avoir « parlé faussement de Dieu », parce qu’ils prétendent qu’« Il (Dieu) nous interdit de faire ce qui est bon les jours de Sabbat— comment n’est-il pas impie?»

La compréhension humanitaire positive de l’observation du Sabbat, est enracinée dans l’accomplissement du Christ de la typologie rédemptrice du Sabbat, que nous trouvons mise en évidence de plusieurs façons dans les Evangiles. Envisageant le repos et la Rédemption typifiés par le Sabbat de l’Ancien Testament, comme réalisés par la mission rédemptrice du Christ, les croyants du Nouveau Testament considéraient l’observation du Sabbat comme un jour pour célébrer et faire l’expérience de la rédemption-repos messianique, en témoignant de la « miséricorde » et en faisant « le bien » à ceux dans le besoin. Ce que ceci signifie pour nous Chrétiens d’aujourd’hui, c’est que sur le Sabbat et pendant le Sabbat, nous célébrons les accomplissements créateurs et rédempteurs du Christ, en accomplissant des fonctions rédemptrices envers les autres.

3. Conclusion

Dans les quatre derniers chapitres, j’ai présenté des indications pour la permanence du principe et de la pratique de l’observation du Sabbat dans le Nouveau Testament. La première raison, expliquée dans le chapitre 2, est que l’observation du Sabbat est impliquée dans le Nouveau Testament par la forte perception de continuité avec l’héritage religieux de l’Ancien Testament.

La seconde raison, présentés dans le chapitre 3, est que le Nouveau Testament, ne regarde pas le Sabbat comme une cérémonie mosaïque pour les Juifs, mais en tant qu’institution de la création, pour le genre humain. La troisième raison, soumise dans le chapitre 4, est que le Nouveau Testament voit l’arrivée du Christ, pas comme la terminaison, mais comme l’actualisation, la réalisation de la typologie rédemptrice du Sabbat. A la lumière de la croix, le Sabbat commémore, pas seulement les accomplissements de la création de Dieu, mais aussi Ses accomplissements rédempteurs pour le genre humain.

La quatrième raison, discutée dans le chapitre 5, est que le Nouveau testament offre des indications implicites et explicites, concernant le fait et la manière d’observer le Sabbat. Ma conclusion alors, est que le Nouveau Testament voit le principe et la pratique de l’observation du Sabbat, pas comme étant abrogés ou transférés au Dimanche, mais comme ayant une validité et valeur permanente pour les Chrétiens. Le Sabbat n’est pas annulé, mais éclairci par le ministère de salut et l’enseignement du Christ.


Notes de bas de page

[1] Mt 12:1-14; Mc 1:21-34; 2:23-28; 3:1-6; Lc 4:16-21; 4:31-41; 6:1-11; 13:10-17; Jean 5:1-47; 9:1-41.

  Gerhard Barth, Tradition and Interpretation in Matthew (London, 1963), p. 81; cf. aussi pp. 79, 83, 163, 244.

  A. W. Argyle, The Gospel According to Matthew (Grand Rapids, 1963), p. 183. De même E. Lohse remarque, «Mt 24:20 offre un exemple de l’observation du Sabbat par les Chrétiens Juifs» (“Sabbaton,” Theological Dictionary of the New Testament, ed. G. Kittel, [Grand Rapids, 1968], vol. 7, p. 29).

  Ma discussion de la malédiction de Chrétiens se trouve dans Du Sabbat au Dimanche, traduction française de Dominique Sébire (P. Lethielleux, Paris 1984) pp. 135-136.

  Épiphane, Adversus Haereses 29, 7, Patrologia Graeca 42, 402. Mon traitement des Nazaréens se trouve dans Du Sabbat au Dimanche, traduction française de Dominique Sébire (P. Lethielleux, Paris 1984) pp. 133-134.

  Voir note 5.

  Nous soulignons.

  Nous soulignons.

  Willy Rordorf, Sunday: The History of the Day of Rest and Worship in the Earliest Centuries of the Christian Church (Philadelphia, 1968), p. 68.

  Epistle to Diognetus 4, 3, The Ante-Nicene Fathers (Grand Rapids, 1973 reprint), vol. 1, p. 26.

(Ce texte est extrait de «Le sabbat dans le Nouveau-Testament» par Samuele BACCHIOCCHI)

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