Le choix d’un conjoint

 

Le choix d’un compagnon ou d’une compagne pour la vie doit être fait de telle sorte qu’il assure le bien-être physique, mental et spirituel des parents et des enfants, et que tous puissent ensemble honorer leur Créateur et être en bénédiction à leurs semblables.

Avant d’assumer les responsabilités du mariage, jeunes gens et jeunes filles devraient avoir une expérience suffisante des choses pratiques de la vie pour être préparés à ses devoirs et à ~ses fardeaux. Les mariages précoces ne doivent pas être encouragés.

Une préparation suffisante.

Des relations aussi importantes et ayant des répercussions aussi étendues que celles du mariage, ne devraient pas être formées avec hâte, sans préparation suffisante, et avant que les forces physiques et mentales fussent bien développées.

 

La santé le plus précieux des biens.

Les fiancés peuvent être sans fortune, mais ils doivent avoir la santé, le plus précieux de tous les biens.

 

Une grande différence d’âge.

Une grande différence d’âge entre les époux devrait constituer une exception.

L’oubli de cette règle peut altérer la santé du plus jeune des conjoints. Souvent, les enfants issus d’un tel mariage sont dépourvus de force mentale et physique. lis ne peuvent pas recevoir d’un parent âgé les soins qu’exige leur jeune vie, et la mort peut les priver de leur père ou de leur mère à l’âge où ils auront le plus besoin d’être guidés et aimés.

Ce n’est qu’en Dieu qu’un mariage peut être conclu avec sécurité. L’amour humain doit être inspiré jusque dans ses manifestations les plus intimes par l’amour divin. Ce n’est que là ou le Christ règne que peut s’épanouir une affection profonde, véritable et désintéressée.

(Ce texte est extrait du livre Rayons de Santé, Éd. SDT, Dammarie-les-Lys, 1957)

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