Christ Malédiction pour nous – Galates 3:13

En accord avec la volonté de Dieu, un plan de salut, gratuit pour nous, mais extrêmement coûteux pour Dieu et son fils, à du être mis en place pour nous sauver de la juste condamnation que nous méritions à cause de nos propres péchés. « Mais lorsque les temps ont été accomplis, Dieu a envoyé son fils, né d'une femme, né sous la loi, afin qu'il rachète ceux qui étaient sous la loi » Galate 4 :4

» Christ nous a rachetés de la malédiction de la loi, étant devenu malédiction pour nous-car il est écrit: Maudit est quiconque est pendu au bois, » Galates 3:13.

En accord avec la volonté de Dieu, un plan de salut, gratuit pour nous, mais extrêmement coûteux pour Dieu et son fils, à du être mis en place pour nous sauver de la juste condamnation que nous méritions à cause de nos propres péchés. « Mais lorsque les temps ont été accomplis, Dieu a envoyé son fils, né d’une femme, né sous la loi, afin qu’il rachète ceux qui étaient sous la loi » Galate 4 :4

Un plan de salut couteux

« C’est lui que Dieu a destiné, par son sang, à être, pour ceux qui croiraient victime propitiatoire, afin de montrer sa justice, parce qu’il avait laissé impunis les péchés commis auparavant, au temps de sa patience, afin, dis-je, de montrer sa justice dans le temps présent, de manière à être juste tout en justifiant celui qui a la foi en Jésus. » Romains 3 :25-26

En parfait accord avec la volonté parfaite de son père, le Christ a aussi voulu et plaider pour nôtre rédemption. Il connaissait fort bien l’affreux sort qui lui serait réservé par les mains mêmes de ceux

qu’Il viendrait sauver. Il savait que son sacrifice serait négligé, méprisé, que les hommes dans leur grande majorité lui serait indifférent et finirait par le rejeté. Cependant à cause du petit nombre qui l’accepterait il a voulu être le compagnon des pécheurs. Il a voulu être notre compagnon. C’est de sa propre décision qu’il a fait cela.

“ Je suis le bon berger. Le bon berger donne sa vie pour ses brebis. “ “ Le Père m’aime, parce que je donne ma vie, afin de la reprendre. Personne ne me l’ôte, mais je la donne de moi-même; j’ai le pouvoir de la donner, et j’ai le pouvoir de la reprendre: tel est l’ordre que j’ai reçu de mon Père. “ Jean 17:11;17,18

Voilà pourquoi il est devenu homme de chair et de sang, compagnon de ceux qui sont malades, pécheurs et plongés en tout genre de péchés. Avant de venir sur terre il savait bien qui nous étions, quel genre de vie nous menions, il savait fort bien que nous étions des pécheurs de tout genre et de toutes espèces. Ne nous imaginons pas que se fut chose facile pour le Christ. Nous ne pourrons jamais entièrement comprendre ce que le Christ a enduré à cause de nos personnes et de nos péchés. Mais sa miséricorde, sa compassion et son amour pour nous furent plus fort que sa haine pour nos péchés.

Christ le divin porteur du péché

Suivant l’extraordinaire et étonnant plan de salut mis en œuvre pour nous, il faudrait que le Christ, “ touche ” au péché, plus exactement, qu’il “ porte “ cette affreuse maladie qu’est le péché en son propre corps. « lui qui a porté nos péchés en son corps sur le bois, afin que, morts à nos péchés, nous vivions pour la justice, lui dont la meurtrissure vous a guéris » 1 Pi 2:24

Christ par compassion pour nous consent à supporter l’insupportable. Lui l’infinie pureté, consent dans son humanité, a s’ identifié d’une incroyable façon avec le péché. Il fait corps avec lui sur la croix. Il a volontairement porté « en son corps » les péchés des hommes sur le bois. Ainsi Christ, l’innocence, la pureté même, s’est rendus volontairement coupable en portant nos péchés.

Aussi la justice de Dieu voyant en lui notre iniquité, nos péché et notre rébellion l’a condamné. La loi de Dieu est si sainte, si parfaite, que Dieu ne l’a pas changé même pour épargner son propre fils, objet de toute son affection. Christ, coupable (non de ses péchés) mais de nos péchés qu’il porte, a du subir la condamnation de la loi envers le pécheur. « … Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui… » Es 53:5. « Il a plu à l’Eternel de le briser par la souffrance… » Es 53:10. « Christ est devenu malédiction pour nous, Car il est écrit, Maudis est quiconque est pendu au bois. » Ga 3:13

Il a du mourir, crucifié sur une croix, pendu au bois et condamné par la justice divine, subissant la malédiction réservé aux pécheurs à cause de nos péché qu’il a volontairement fait sien.

Et quels péchés ? Le péché dans toute sa puissance, toute sa portée. Le péché, rébellion ouverte contre Dieu et sa loi, est dans son essence même un principe totalement égoïste, contraire à toute justice, allant jusqu’au meurtre pour assouvir ses exigences égocentriques. S’il le pouvait Satan l’auteur de ce principe d’iniquité irait jusqu’à éliminer Dieu lui-même pour satisfaire son ambition. Il la d’ailleurs prouvé en s’acharnant sur le Christ jusqu’à la mort. C’est un principe absolument contraire au caractère d’abnégation de Dieu et du Christ. Et c’est hélas ce principe funeste qui nous habite et fait de nous ce que nous sommes. Seule le Chrit peut nous en sauver.

L’échange infinie

Voilà pourquoi Jean-Baptiste appelle Jésus-Christ l’« Agneau de Dieu, qui ôte les péchés du monde». Jean 1:29 Et c’est vrai. Christ est agneau. Christ est agneau car il est pour lui-même innocent. Mais, sur la croix, il a voulu devenir le représentant de l’humanité coupable et pécheresse et, parce qu’il porte les péchés du monde, son innocence s’en trouve comme noyé par l’océan du péché et des transgressions du monde entier. Il a voulu en accord avec son père volontairement les prendre, s’en charger, en assumer la terrible responsabilité, en supporter le châtiment éternel qui l’accompagne par amour pour nous, des humains pécheurs, perdus et esclaves.

  • Il a voulu prendre nos péchés et nous donner sa sainteté,
  • Il a voulu prendre notre injustice et nous donner sa justice,
  • Il a voulu prendre notre culpabilité et nous donner son innocence.
  • Il a voulu prendre notre inimitié et nous donner sa réconciliation.
  • Il a voulu prendre notre mort éternelle et nous donner à la place sa propre vie éternelle.

Quel amour quel tendre pitié, quelle étonnant dont de soi, pour des pécheurs rebelles et ingrats, qui n’accepteront peut-être même pas un tel déversement de grâce, d’amour, et de miséricorde.

Christ porte le péché Mais ce n’était pas sans souffrance. Depuis Gethsémané l’énorme poids de toute cette mondiale culpabilité écrasait déjà les épaules humaines du Christ. En tant qu’homme, il agonisait, et défaillait, succombait tant il était épuisé et harassé. Son humanité n’en pouvait plus, mais il supportait encore et toujours, allant jusqu’au bout de son sacrifice, par amour pour nous qu’il voulait sauver à tout prix, au prix de sa vie précieuse « En proie à l’angoisse, il priait plus instamment, et sa sueur devint comme des grumeaux de sang, qui tombait à terre » Lc 22:44

En plus de cela il n’a pas porté la culpabilité d’un seul pécheur. Mais il a endossé tous les péchés, la culpabilité de l’humanité entière, des croyants ausi bien que des incroyants. Quelque péché que nous voyons, aussi noir, sombre, imaginable ou inimaginable, Christ l’a porté en son corps. C’est ainsi que : « Christ qui n’a pas connu le péché, Dieu l’a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu » 2 Co 5:21.

Voila le suprême et ineffable échange : Christ prend, le péché, bien plus dit Paul « Dieu l’a fait devenir péché pour nous » le péché, l’imperfection, l’horreur, ce qui est notre, il l’assume et nous donne en retour, gratuitement, sans que nous le méritions, ce qui est sien sa pure et parfaite justice afin qu’ « en lui » grâce à lui et par lui nous devenions « justice de Dieu ». justice, l’antithèse même du péché. «…Il s’est livré lui même à la mort, et… il a été compté parmi les coupables,…il a porté les péchés de beaucoup…» Es 53:12.

Quels fardeaux extraordinaires de rébellion reposaient sur le Christ. A cause du poids du péché qu’il portait, volontairement « compté parmi les coupables » il se sentait privé de la présence du père, séparé de lui. Il ressentait en son propre corps le châtiment de la colère dont Dieu et sa juste justice frappe le péché, et la transgression. Cher lecteur tous les péchés que nous avons commis et que nous commettrons à l’avenir, toi et moi, appartenaient tellement à Christ que c’est comme si c’était lui-même qui les avait commis. Il a voulu lui-même s’en charger et les assumer. Esaïe dit : « L’Eternel a fait retombé sur lui l’iniquité de nous tous ». Es 53:6

Mon mensonge celui que je commets si aisément le Christ le prend, s’en charge, et en assume la condamnation qui l’accompagne. Mon mensonge lui donnera la mort éternelle…C’est donc moi, mon péché, ma transgression qui lui donne la mort. C’est moi, moi qui devrait mourir et non pas lui. C’est moi qui suit coupable et qui devrait subir le châtiment éternel. et non pas lui. Lui qu’a-t-il fait ?

Or le plus triste, le plus inavouable, le plus cruel dans l’histoire de ce sacrifice infinie de Jésus-Christ le fils de Dieu, C’est l’absolu et extraordinaire incrédulité et indifférence de l’homme face à ce don suprême et inouïe du ciel.

“ Méprisé et abandonné des hommes, Homme de douleur et habitué à la souffrance, Semblable à celui dont on détourne le visage, Nous l’avons dédaigné, nous n’avons fait de lui aucun cas. Cependant, ce sont nos souffrances qu’il a portées, C’est de nos douleurs qu’il s’est chargé; Et nous l’avons considéré comme puni, Frappé de Dieu, et humilié.” Esaïe 53:3,4. C.

L’Evangile, c’est le Christ qui porte nos péchés

Voilà Ami lecteur, C’est cela l’Evangile. C’est le Christ qui porte et qui meurt pour nos péchés et non pas nous qui les portons et qui mourrons pour eux.

Christ, de son plein gré, a fait sien et expié nos péchés. Oh ! Pas seulement les péchés de ceux qui croient, mais les péchés de tous les hommes sans exceptions. « Il est lui-même victime expiatoire pour nos péchés, non seulement pour les nôtres, mais aussi pour ceux du monde entier. » 1 Jn 2:2 Et si tous les hommes ne sont pas sauvés c’est parce qu’indifférent, “ aveuglé par le Dieu de ce siècle ” ils ne croient et ne retiennent pas cet Evangile qui leur est annoncé. Paul parlant aux corinthiens leur rappel l’Evangile qu’il leur a annoncé :

“ Je vous rappelle, frères, l’Evangile que je vous ai annoncé, que vous avez reçu, dans lequel vous avez persévéré, et par lequel vous êtes sauvés, si vous le retenez tel que je vous l’ai annoncé; autrement, vous auriez cru en vain. Je vous ai enseigné avant tout, comme je l’avais aussi reçu, que Christ est mort pour nos péchés, selon les Ecritures; qu’il a été enseveli, et qu’il est ressuscité le troisième jour, selon les Ecritures;

et qu’il est apparu à Céphas, puis aux douze. Ensuite, il est apparu à plus de cinq cents frères à la fois, dont la plupart sont encore vivants, et dont quelques-uns sont morts. “” Ainsi donc, que ce soit moi, que ce soient eux, voilà ce que nous prêchons, et c’est ce que vous avez cru.” 1 Corinthien 15:1-4;11

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